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GCS dans le monde entier

  • Photo du rédacteur: Tom Vermolen
    Tom Vermolen
  • il y a 2 jours
  • 1 min de lecture

La grève mondiale pour le climat (GCS) est une nouvelle réussite.


Nous ne disposons pas de suffisamment de données pour présenter un chiffre précis, mais tout porte à croire que le nombre de personnes rejoignant la grève mondiale pour le climat a encore augmenté, tout comme l'année dernière.


En collaboration avec le groupe de travail Fridays for Future Global Climate Strike (FFF GCS WG) et Fridays for Future International, nous aimerions faire un sondage pour connaître votre opinion sur la grève mondiale pour le climat, et pour augmenter notre connaissance des grèves qui ont lieu à travers le monde. Veuillez consulter ce formulaire, et si vous avez le temps de le remplir, ce serait formidable !


La grève a débuté à Aotearoa (Nouvelle-Zélande), où la participation a été nettement plus importante que l'année dernière.

 La grève mondiale en Nouvelle-Zélande, un panneau disant “Ne soyez pas un imbécile fossile”.
Photo:RNZ / Pretoria Gordon, Localisation Aotaeroa (Nouvelle-Zélande)

Au Bangladesh, le nombre de personnes a également augmenté, de même que le nombre de sites.

La grève mondiale pour le climat au Bangladesh.
Photo: FFF Bangladesh

En Europe, les manifestations à l’occasion de la grève étaient en augmentation, du moins dans certains endroits.

Vue de la bannière de la grève pour le climat à Turin, Italie.
Photo: FFF Turin, Texte de la bannière : “ De la graine de l'oppression naît l'arbre de la rébellion “.

La grève mondiale du climat depuis une école de Terme, en Italie

Grève devant un établissement scolaire.
Photo credits: Massimo

Nous n'avons pas vu beaucoup de manifestations aux États-Unis, peut-être en raison de la grève massive « hands off » du week-end précédent. Le Canada était bien vivant !

La marche pour le climat à Vancouver au Canada.
Photo FFF Vancouver

Nous manquons de nombreuses données concernant l'Afrique et l'Amérique latine, ce qui pourrait être dû à la partialité des médias et à la répression des militants dans ces régions.

 
 
 

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